AdminSysNet

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

Google Dashboard: voir vos données stockées chez Google

https://myaccount.google.com/dashboard

SYSPREP mise à jour de la documentation Microsoft pour Windows 10

https://msdn.microsoft.com/en-us/windows/hardware/commercialize/manufacture/desktop/sysprep--system-preparation--overview

RSAT pour windows 10

http://microsofttouch.fr/default/b/js/posts/les-outils-d-administration-de-serveur-distance-rsat-pour-windows-10-sont-disponibles

http://www.tomsitpro.com/articles/windows-10-remote-server-administration-tools-rsat,2-830.html

https://4sysops.com/archives/install-rsat-for-windows-10/

http://windowsitpro.com/windows-10/remote-server-administration-tools-windows-10-released

http://cnf1g.com/?p=855

Gmail et les points dans les adresses

https://support.google.com/mail/answer/10313?hl=fr&ref_topic=3026306

Le fait que les utilisateurs de Gmail reçoivent le courrier de quelqu'un d'autre peut s'expliquer de trois façons différentes. Veuillez sélectionner la description qui correspond à votre situation.

Il peut arriver que vous receviez des messages envoyés à une adresse similaire à la vôtre, mais dont le nombre ou l'emplacement des points est différent. N'ayez crainte, nous n'avons pas acheminé le courrier d'un autre utilisateur vers votre compte. Ces deux adresses vous appartiennent.

Gmail ne considère pas les points comme des caractères dans les noms d'utilisateur. Vous pouvez en ajouter à votre adresse Gmail ou en supprimer sans que l'adresse de destination ne soit modifiée. Les messages sont tout de même envoyés dans votre boîte de réception et nulle part ailleurs. En bref :

  • homerjsimpson@gmail.com = hom.er.j.sim.ps.on@gmail.com
  • homerjsimpson@gmail.com = HOMERJSIMPSON@gmail.com
  • homerjsimpson@gmail.com = Homer.J.Simpson@gmail.com

Toutes ces adresses correspondent à une seule et même personne. Pour en avoir la preuve, essayez de vous connecter en ajoutant un point à votre nom d'utilisateur ou en en supprimant un. Vous constatez que la connexion à votre compte aboutit.

Si vous recevez un message qui semble être destiné à quelqu'un d'autre, il se peut que l'expéditeur se soit trompé dans l'adresse. N'avez-vous jamais composé un faux numéro de téléphone ? Dans un tel cas, nous vous conseillons si possible de contacter l'expéditeur du message ou le site Web pour lui signaler l'erreur.

Veuillez noter qu'en revanche, Google Apps distingue les points. Si vous souhaitez ajouter un point dans votre nom d'utilisateur, demandez à l'administrateur de votre domaine d'ajouter votre nom d'utilisateur favori comme pseudonyme.

NIRSOFT: une multitude d'outils (password, system, browser, programmer, network,...)

http://www.nirsoft.net/

nk2edit

WinLogOnView

USBDeview

Conversion youtube vers mp3/mp4/avi

Conversion youtube vers mp3:

http://www.youtube-mp3.org/fr

Conversion multiformat: audio(mp3 flac aac ogg wma) et vidéo (mp4 avi wmv 3gp):

http://convert2mp3.net/en/

http://2conv.com/fr/

loigiciels gratuits de capture vidéo

http://www.presse-citron.net/10-logiciels-gratuits-de-capture-decran-en-video/

La liste ultime des 10 logiciels de capture d’écran en vidéo. Liste actualisée régulièrement.

Voici une liste très utile de logiciels de capture d’écran vidéo. Des applications qui permettent donc d’enregistrer en flux vidéo ce qui se passe sur l’écran d’un PC, afin de produire par exemple des vidéos de formation ou de support.

Longtemps payants (et souvent assez chers), ces logiciels n’ont pas échappé à la vague du gratuit, et ce sont pas moins de 10 applications qui sont aujourd’hui disponibles.

(dernière mise à jour : 02/04/2014)

1. Camstudio

Probablement le plus connu, permet d’enregistrer au format AVI et SWF. C’est celui que j’utilise actuellement (et depuis pas mal de temps)

O.S.: Windows

camstudio

2. Jing

Permet aussi d’enregistrer du son avec un micro avec la vidéo. Edité par TechSmith, aussi auteur de Camtasia, qui lui est payant.

O.S.: Windows, Mac OS X

jing

3. Webineria

Logiciel open source qui sort des vidéos en AVI et FLV, et permet aussi d’enregistrer une autre entrée vidéo avec une webcam pendant le screencast. Génial pour des vidéos pédagogiques.

O.S.: Windows

webineria

4. Wink

Un logiciel de création de présentations et didacticiels qui pemet d’ajouter des notes au screencast.

O.S.: Windows, Linux

wink

5. UltraVNC Screen Recorder

Basé sur CamStudio, avec des performances améliorées.

O.S.: Windows

uvnc

6. Ezvid

Ezvid est un programme d’enregistrement d’écran qui est livré avec un éditeur intégré à la caméra où vous pouvez partager vos enregistrements et ajouter du texte entre deux clips, créant un effet de diaporama. Il n’est pas possible d’exporter la vidéo que vous avez enregistré. Cependant, vous pouvez télécharger la vidéo sur YouTube par le programme lui-même.

 

wm_encoder

7. BB FlashBack Express

Une déclinaison gratuite d’une série de logiciels plus évolués. Sortie en AVI et FLV. BB FlashBack express Recorder vous permet d’utiliser votre webcam pour vous enregistrer lors de l’enregistrement des activités qui se déroulent sur ​​votre bureau. Après avoir arrêté l’enregistrement, il crée un fichier FBR qui peut être édité avec son éditeur de vidéo intégré.

O.S.: Windows

fbexpress-640

8. CaptureFox

Une extension pour Firefox qui permet de faire de l’enregistrement d’écran avec support de l’enregistrement audio.

O.S.: tous, normalement

capturefox

9. Krut

Une application Java compatible avec tous les OS, qui enregistre au format Quicktime MOV.

O.S.: tous

krut_main

10. Screenr

Pour ceux qui sont allergiques aux logiciels et aux trucs à installer, je vous ai réservé le meilleur pour la fin : Screenr est un moyen intéressant de partager un screencast (enregistrement de votre écran) en ligne sans avoir à installer un programme sur votre ordinateur, il nécessite Java pour fonctionner. Vous sélectionnez une zone sur votre écran que vous voulez enregistrer (max: 5 minutes). Tous les enregistrements sont sauvegardés sur votre compte. Après l’enregistrement, vous recevrez un lien que vous pouvez partager. Vous pouvez également exporter votre vidéo en MP4 ou la télécharger sur YouTube.

screenr

11. Movavi

Et oui le titre dit « 10 logiciels » mais qu’à cela ne tienne, voici notre bonus gratuit :-) Movavi est une solution complète : si la majorité des applications de capture d’écrans se spécialisent dans la création de vidéos d’écran ou dans l’enregistrement de jeux, Movavi vous permet de faire les deux – et aussi de capturer des vidéos en ligne.

movavi

O.S. : Windows, Mac OS

Avec ça vous devriez faire quelques économies de déplacement pour former vos clients, non ?

Différence entre DAS, NAS et SAN

https://ticalternancecesiarras.wordpress.com/2012/11/10/das-nas-san-kesako-par-ludovic-roucou/

Un très bon article qui explique de manière très claire la différence entre un NAS et un SAN.

DAS, NAS, SAN, kesako? par Ludovic ROUCOU

nov 10

Publié par Frédéric Szusciak

Bonjour à tous, vous trouverez ci-dessous un article de Ludovic Roucou qui nous fait un petit topo des technologies de stockages….

 

Introduction

Le stockage des données et leurs exploitations sont au cœur du système d’information d’une entreprise. Pour cela différentes architectures sont possibles, mais quelles sont-elles et laquelle choisir ?

I – DAS, NAS, SAN, kesako ?

DAS :
Direct Attached Storage, ou comme son nom l’indique, méthode de connexion où la baie de disque est directement connectée sur un serveur

NAS :
Network Attached Storage, via cette méthode on distingue la connexion d’une baie de stockage directement sur le réseau. Elle est alors accessible par tous les périphériques connectés au même réseau sans devoir passer par un hôte intermédiaire.

SAN :
Storage Area Network , on reste sur les baies de stockage connectées au réseau, mais cette fois ce réseau leur est dédié.

 

II – lequel choisir ?

 

A – DAS (Direct Attached Storage)

Dans le cadre d’un réseau d’entreprise on comprend vite les limitations induites par une architecture DAS :

– Les périphériques de stockages sont gérés indépendamment les uns des autres, ce qui complique l’administration et la gestion du parc.

– Le partage de ressources, s’il est possible, impliquera une charge supplémentaire sur le réseau en place.

– Les opérations de sauvegardes qui peuvent être planifiées de façon centralisées engorgeront le réseau en accédant aux différents périphériques ça et là

– Si les opérations de sauvegardes sont faites indépendamment sur chacun des serveurs cela alourdira encore l’administration de l’infrastructure.

Le DAS tend à disparaitre au sein des stockages d’entreprises. Maintenant cette architecture est surtout répandue pour une utilisation personnelle, telle que le branchement d’un disque dur USB sur un poste de travail.

 

B – NAS et SAN

1 – Consolidation du stockage par le réseau

storage

Pour palier aux limitations d’une architecture DAS, la consolidation de l’accès aux données peut se faire via du stockage réseau, le NAS ou le SAN. 

Mais quels sont les bénéfices d’une infrastructure de stockage en réseau ?

– L’environnement de stockage devient facilement évolutif, à tout moment des ressources peuvent être ajoutées au fur et à mesure de l’augmentation de la demande.

– Les ressources non utilisées peuvent être facilement attribuées à un autre serveur, une autre utilisation…

– L’administration est simplifiée, centralisée sur un seul périphérique de stockage au lieu d’une multitude de petits périphériques indépendants.

– Applications et améliorations non disponibles, difficiles ou lourdes à mettre en œuvre sur une architecture DAS :

  • Simplicité de la mise en place d’une réplication délocalisée et centralisée des données.
  • Continuité de service grâce au clustering des périphériques de stockage, en cas de pannes les données restent accessibles et la production n’est pas interrompue.
  • Démarrage de serveurs par le SAN grâce au Boot on SAN. Reprise d’activité accélérée en cas de panne d’un serveur physique.
  • Consolidation de la virtualisation par le stockage des VM sur le SAN.

 

2 – Quelle différence entre le SAN et les NAS ?

En quelques mots, le NAS fait référence à un périphérique précis, relié au LAN et potentiellement accessible par tous les usagers du réseau. Le SAN fait référence à un réseau de données à part entière, en parallèle du LAN


Dans les détails l’architecture de ces deux systèmes ne fonctionne pas de la même manière :

NAS :

  • Un périphérique NAS possède son propre système de fichier, généralement du CIFS (Common Internet File System) pour le monde Windows ou du NFS (Network File System) pour le monde Unix/Linux.
  • Les accès au NAS se font au niveau fichier.
  • Un périphérique de stockage peut accueillir différents volumes partagés de différentes façons, permettant d’avoir différents partages NAS sur un même réseau. Par exemple un partage CIFS et un partage NFS.
  • Un NAS peut gérer les accès concurrents, on parle alors de données partagées.
  • Un partage NAS peut être multi-protocolaire, par exemple : accès CIFS et NFS concurrents

SAN :

  • Dans un SAN c’est le serveur qui gère le système de fichier sur les espaces de stockage auxquels il a accès. Un périphérique de stockage peut être relié à plusieurs serveurs via le SAN, ce sont alors des espaces de stockage sur le même périphérique qui sont dédiés à différents serveurs, on appelle ces espaces de stockages des LUNs.
  • L’accès à ces LUNs se fait au niveau bloc
  • Une LUN est considérée par le serveur qui y est connecté comme un disque dur local, d’où le système de fichiers gérés par l’OS du serveur. Dans ce cadre le périphérique de stockage où se trouve la LUN ne connait pas l’emplacement des données, en quelques sortes, la baie ne voit qu’un gros fichier.
    Seul un serveur avec un OS capable de lire le système de fichiers dans lequel est formaté l’espace de stockage peut y lire les données.
  • Il n’y a pas d’accès en écriture concurrent sur une même LUN dans un SAN. Une LUN peut éventuellement être connectée en lecture sur d’autres serveurs, mais un seul et unique serveur peut y écrire des données.
  • Un SAN peut être câblé en fibre optique, sera alors utilisé le protocole FC (Fibre Channel). En câble réseau cuivré, les protocoles iSCSI (internet SCSI) ou FCoE (Fibre Chanel over Ethernet) peuvent être utilisés.
  • Dans le cadre d’un SAN en fibre optique, les matériels sont reliés entre eux via un switch FC, on parle alors de fabric.
  • Pas d’adressage IP dans la cadre d’une utilisation de la fibre optique. Les périphériques sont identifiés et accédés par leur WWN (World Wide Name), WWPN (World Wide Port Name) ou WWNN (World Wide Node Name). Les accès se gèrent en effectuant du zoning.

 


 

3 – L’intérêt de l’un par rapport à l’autre ?

SAN

L’intérêt de mettre en œuvre un SAN est d’obtenir un réseau dédié aux données à haut débit, qui ne sera pas perturbé par les différents flux qui peuvent transiter sur un LAN (Accès internet, Messagerie, Accès, NAS, VoIP, etc…) .

Tout est fait dans un SAN pour optimiser les temps d’accès et de traitements aux données :

  • Les débits en fibre optique sont actuellement de 8 Gbits/s.
  • La mise en place d’une redondance des switchs FC permet d’assurer une continuité de service en cas de panne
  • Les disques utilisés en RAID assurent performance et sécurité
  • Un SAN peut être utilisé avec n’importe quel type d’OS, les LUN étant indépendantes les unes des autres.
  • Un SAN peut être facilement étendue, la fibre optique offrant de meilleures performances sur les longues distances.

On peut ainsi stocker par le SAN les VMs de la solution de virtualisation, stocker les bases de données, les bases mails…

Un réseau SAN est également idéal pour effectuer les sauvegardes des serveurs sur les robots en un minimum de temps et sans perturbation sur le trafic du LAN.

NAS

Les réseaux cuivrés tendent à concurrencer le NAS en fibre optique, avec le 10Gbit/s d’ores et déjà disponibles. Ainsi chez un constructeur comme NetApp, il est tout à fait possible d’envisager le stockage des machines virtuelles d’un ESX sur un NAS NFS sans pertes de performances par rapport à une architecture SAN.

Le gain est évident :

– Simplicité d’administration :

  • pas de SAN en fibre optique
  • accès concurrents possibles par rapport aux LUNs
  • Simplicité de mise en place :
  • pas de zoning, de paramétrage d’une fabric
  • Utilisation d’un réseau IP

– Coût amoindri par l’utilisation d’un réseau cuivré, plus courant que de la fibre optique

 

Conclusion

Le SAN aurait tendance à reculer face aux réseaux cuivrés en 10 Gbit/s qui proposent des débits et des performances équivalents.

De plus les technologies tendent à évoluer dans ce sens avec l’implémentation de protocole tel que le FCoE qui permet d’utiliser le protocole Fibre Channel sur un réseau IP classique.

Cependant le SAN reste une architecture permettant d’isoler complètement son réseau de données, et ainsi de garantir la performance des échanges. Cela peut avoir son importance

dans le système de sauvegarde notamment, en maitrisant au mieux le temps disponible lors des fenêtres de sauvegarde.

Les sites utiles pour trouver des paramétrages et astuces

Généralistes:

http://www.techrepublic.com

http://syskb.com

http://www.howtogeek.com/

http://www.techsupportalert.com

http://www.techguy.org/

http://www.techsupportforum.com

Spécifique à Microsoft:

http://www.sevenforums.com/

http://www.msoutlook.info/

http://www.howto-outlook.com/

http://windows7helpdesk.com/


configuration switcsh CISCO et et HP

http://www.clemanet.com/index.php

configuration switch CISCO et  et HP

Pour utiliser le VOIP sur les CISCO avec des téléphones d'autres marques, il faut activer le protocole LLDP (protocole multi-vendeur) à la place du CDP (spéciiques aux matériels CISCO tels que les téléphones).

Link Layer Discovery Protocol (LLDP) est un protocole normé dans la publication 802.1ab. C'est un protocole destiné à remplacer un bon nombre de protocoles propriétaires (Cisco CDP, Extreme EDP, etc.) utilisés dans la découverte des topologies réseau de proche en proche, mais aussi à apporter des mécanismes d'échanges d'informations entre équipements réseaux, et utilisateurs finaux.

LLDP est un protocole ouvert constitué de :

  • un entête et une fin de message fixe
  • un ensemble de conteneurs d'information (TLV)

L'intérêt de LLDP vient du modèle ouvert de gestion des TLV :

  1. si un équipement de transit reçoit un message LLDP, il le lit dans son intégralité, et interprète tous les TLVs qu'il peut interpréter.
  2. S'il lit un TLV qu'il ne sait pas interpréter, il le conserve tel quel dans le message et ne le prend pas en compte localement
  3. Il retransmet ensuite le message originel en modifiant les TLV interprétés s'il y a besoin de les modifier, et les TLV non interprétés en les laissant tel quels.

- page 1 de 46